Un nouveau record mondial vient d'être battu et vous aurez beaucoup de mal à trouver plus insolite aujourd'hui !

Plus de 67 tonnes, voici le poids de ce big truck transformé en char pour la grosse parade qui a eu lieu en Californie le jour de l'an. Et ce char contenait une véritable piscine à vagues à destination des fameux chiens surfeurs qu'on peut croiser assez souvent sur la côte ouest des États-Unis.
Il s'agit du célèbre tournoi de la Parade des Roses qui est une représentation (et une petite compétition) de chars fleuris organisés chaque année à Pasadena (pas loin de Los Angeles) depuis 1890 !
Un million de spectateurs viennent assister à ce défilé hors-normes et cette année, on a eu droit à un char avec des toutous qui surfent !   Ils ont bien évidemment remporté le trophée du char le plus spectaculaire, chose qu'on ne peut qu'approuver parce que ce n'est pas tous les jours qu'on croise une piscine roulante avec des chiens sur des boards de surf !!!

Ce camion transformé est entré dans le livre des records (Guinness book) avec 67,245 tonnes et 38 mètres de long, ce qui constitue à la fois le char le plus lourd et le plus long du monde ! Et le plus insolite surtout !

https://www.youtube.com/watch?v=P1RKE1AyOD8

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Le combi VW, la Coccinelle, la Vespa... Zoom sur les plus célèbres moyens de transport pour les surfeurs !

Le surf est souvent résumé à la recherche de la vague parfaite, à la liberté et au lifestyle.
Mais avant d'aller rider et de s'imaginer dans la peau de Kelly Slater, il faut pouvoir... transporter ses boards ! A l'heure du « c'était mieux avant », la rédac' de The Rider Post a souhaité vous proposer un petit flashback sur les véhicules mythiques qui ont marqué le surf, et aidé de nombreux pratiquants à réaliser leurs rêves d'évasion et d'aventure. Coup d'oeil dans le rétro !

1. Le combi Van Volkswagen

Ahh, le bon vieux combi... Spacieux, pratique, peu coûteux, le VW « transporter » est THE emblême de la surf culture (et des hippies, mais c'est un autre sujet). Il a séduit des générations d'amoureux de l'océan et est aujourd'hui entré dans l'histoire, au même titre que King Kelly Slater. Dés les années 1960, le combi Volkswagen T2 devient le véhicule idéal pour partir en surf trip. Symbole de liberté, d'émancipation et de plaisir, le combi VW  est incontestablement un véhicule de légende pour les surfeurs en quête des plus beaux spots. Et pour les fans de tatouage, puisque de nombreux tatoos sont désormais consacrés au combi Van Volkswagen ! De quoi l'avoir vraiment dans la peau...

[caption id="attachment_139760" align="aligncenter" width="600"] combi van volkswagen[/caption]

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[caption id="attachment_139763" align="aligncenter" width="600"] combi van volkswagen[/caption]

   2. La Coccinelle

Dans les sixties, une autre auto était prisée par nombre de jeunes en quête d'insouciance et de plages désertes : la Coccinelle Volkswagen. Avec ses planches de surf fixées sur le toit et son look baroudeur, elle ne pouvait pas passer inaperçue et reste profondément associée à la culture ride. Symbolisant la jeunesse de l'époque, la « Cox Surf » fut la première voiture européenne à s'imposer sur le marché américain, envahissant les spots de Californie. Yes you can !

[caption id="attachment_139764" align="aligncenter" width="600"] coccinelle[/caption]

[caption id="attachment_139765" align="aligncenter" width="600"] coccinelle[/caption]

[caption id="attachment_139766" align="aligncenter" width="600"] coccinelle[/caption]

[caption id="attachment_139767" align="aligncenter" width="600"] coccinelle[/caption]

[caption id="attachment_139768" align="aligncenter" width="600"] coccinelle[/caption]

3. La Porsche 911

Commercialisée pour la première fois en 1964, cette voiture de sport et de luxe a elle aussi servi à assouvir les désirs de surfeurs, avides de grands espaces. Des riders au budget un poil plus conséquent que les adeptes de la Coccinelle, forcément ! Multiple champion du monde de windsurf et kitesurf, Robby Naish était ainsi parti surfer un secret spot avec une autre voiture de la marque, une Porsche Cayenne S, pour les besoins d'une publicité...

https://youtu.be/IY-sa1NPzqI

La méga star de la glisse considère d'ailleurs la Porsche 911 de 1977 comme son joujou préféré. Tout le monde n'est pas Robby, mais aucun doute, la Porsche 911 est bien dans la légende !

[caption id="attachment_139769" align="aligncenter" width="600"] Porsche 911[/caption]

[caption id="attachment_139770" align="aligncenter" width="600"] Porsche 911[/caption]

4. La Harley-Davidson

Premier constructeur au monde de grosses cylindrées, la Harley-Davidson n'a pas uniquement été enfourchée par Brigitte Bardot et les Hell's Angels. De très nombreux surfeurs ont choisi, dans les années 70, d'aller rider en Harley (sauf sur la vague, tout le
monde ne s'appelle pas Robbie Maddison !), donnant au deux-roues un look pour le moins original. La marque est aujourd'hui associée à certains événements de surf, tel le Festival de Film de Surf de Barcelone organisé en juillet dernier.

[caption id="attachment_139771" align="aligncenter" width="600"] Harley Davidson[/caption]

[caption id="attachment_139772" align="aligncenter" width="600"] Harley Davidson[/caption]

[caption id="attachment_139773" align="aligncenter" width="600"] Harley Davidson[/caption]

5. La Holden Sandman

« Holden quoi ? », nous direz-vous... Vous aurez raison, la légende est australienne mais nous tenions à rendre hommage à cette voiture, commercialisée en 1974. Très prisée des Aussies voulant partir en road trip pour surfer les spots du pays, la Holden Sandman est restée dans les mémoires là-bas. Une nouvelle version est même sortie en 2015, avec un support pour les planches de surf !

[caption id="attachment_139774" align="aligncenter" width="600"] Holden Sandman[/caption]

6. La Vespa

Aller surfer en Vespa, l'idée paraît saugrenue mais les rois du système D ont relevé le défi ! Lancé en 1946, le mythique scooter italien (dont le nom signifie "Guêpe") s'est répandu comme une traînée de poudre dans le monde entier, suscitant aussi l'intérêt de la communauté surf. Alors certes, c'est moins spacieux qu'un combi VW mais c'est la vraie dolce vita ! Si vous n'êtes pas convaincus, voici en bonus la vidéo d'un roadtrip de deux amis vers Mexico...

https://youtu.be/a6q6tWxFoQE

[caption id="attachment_139775" align="aligncenter" width="600"] Vespa[/caption]

[caption id="attachment_139776" align="aligncenter" width="600"] Vespa[/caption]

[caption id="attachment_139777" align="aligncenter" width="600"] Vespa[/caption]

[caption id="attachment_139778" align="aligncenter" width="600"] Vespa[/caption]

[caption id="attachment_139779" align="aligncenter" width="600"] Vespa[/caption]

[caption id="attachment_139780" align="aligncenter" width="600"] Vespa[/caption]

[caption id="attachment_139781" align="aligncenter" width="600"] Vespa[/caption]

7. Le Land Rover Defender

Pour conclure, un autre véhicule est également associé à la culture surf : le Land Rover Defender. Idéal pour les longs et difficiles roads trips vu sa robustesse et sa fiabilité, le tout-terrain anglais lancé en 1983 a su trouver son public... A vous de choisir !

En bonus, la vidéo promo de Land Rover Australia tournée avec Sally Fitzgibbons...

https://youtu.be/BtNnoImJLyk

[caption id="attachment_139782" align="aligncenter" width="600"] LandRover[/caption]

[caption id="attachment_139783" align="aligncenter" width="600"] LandRover[/caption]

[caption id="attachment_139784" align="aligncenter" width="600"] LandRover[/caption]

[caption id="attachment_139785" align="aligncenter" width="600"] LandRover[/caption]

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Le free-surfeur espagnol a été sauvé in-extremis suite à un gros wipeout à Mundaka.

La semaine dernière, le spot de Mundaka était en feu et beaucoup de surfeurs de la région avaient fait le déplacement pour profiter des conditions folles sur ce spot légendaire.
Kepa Acero était de la partie mais la session a falli virer au drame suite à une chute violente. La tête du surfeur basque a cogné contre le fond et il a perdu connaissance. Les autres surfeurs sur le line-up sont venus le sauver tandis qu'il gisait inconscient dans l'eau. Incapable de bouger ses membres, Kepa pensait qu'il était en train de se noyer quand il a été secouru par ses potes puis porté très vite à l'hôpital de Cruces.
Tout va mieux pour Kepa Acero qui reste très positif même s'il affirme avoir la nuque et le dos brisés ainsi qu'une cervicale déplacée. On a frôlé la tragédie sur ce coup-là.

Kepa a publié ces photos sur son compte Instagram avec quelques explications sur sa chute.

Solo puedo empezar este post agradeciendo a tod@s los que me habéis acompañado en estos días tan duros que me ha tocado vivir a mi y a los míos. En especial a Lander e Iñigo que me salvaron la vida en la barra de Mundaka. Os estaré eternamente agradecidos. El día 2 de enero al mediodía tuve una caída fatal en Mundaka. Caí de cabeza contra el fondo y en el momento perdí el conocimiento. El único instante que puedo recordar fue bajo el agua, queriendo llegar a la superficie, pero mis manos y mis piernas no atendían a órdenes. Entonces pensé que nunca saldría. No recuerdo nada más. Luego he sabido que Gaizka e Iñigo me subieron a la tabla y me sacaron de la zona de impacto. Perdí hasta la vista. Mis amigos ❤ @natxogonzalez1 @nando_arostegi @eukenimasa y @aletxugironi me sacaron del agua y tras horas de agonía llegué al hospital de Cruces. Me dijeron que me había partido el cuello, con una cervical rota-desplazada y dorsal rota. Milagrosamente la médula espinar no fue dañada, así que puedo dar gracias por poder sentir y mover mi cuerpo, piernas y brazos. Tengo la sensación de haber vuelto a nacer dos veces en un mismo día, y mi agradecimiento va para todo l@s que me han acompañado, los que me rescataron, médicos, vosotr@s que me habéis animado, al azar que así lo ha querido y a la vida , sobre todo a la vida. Muchas gracias de nuevo y ahora sí, más que nunca y de verdad además, disfrutar de la vida, comérosla que es vuestra. Me operan el miércoles. Unfuerte abrazo a tod@s❤❤❤❤❤

Une photo publiée par Kepa Acero (@kepaacero) le 6 Janv. 2017 à 13h37 PST

https://vimeo.com/197784244

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La vidéo qui fait le buzz en ce moment montre le champion du monde de surf en train de siroter une bière tout en surfant les vagues générées par le bateau du footballeur brésilien.

Gabriel Medina et Neymar sont tous deux des athlètes de haut niveau très réputés, même si ces sports n'ont rien à voir entre eux mais ces deux-là sont aussi et surtout brésiliens et de très bons amis.
Neymar da Silva Santos Junior est un footballeur qui a fait ses preuves sur le terrain et Medina est un surfeur bien connu chez nous car il a remporté le championnat du monde en 2014 alors qu'il n'était âgé que de 19 ans !
Les deux compères sont en vacances et s'éclatent avec cette session insolite de wake-surf. On espère quand même que Gabriel n'a pas jeté sa cannette dans la mer après l'avoir ingurgitée... Notez au passage la taille du bateau !
https://www.youtube.com/watch?v=em9oKJrvEBU

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Bethany Hamilton n'a qu'un seul bras (suite à une attaque de requin à l'âge de 13 ans) mais elle fait partie des meilleures surfeuses du monde et sa nouvelle vidéo va vous le prouver.

L'hawaiienne de 26 ans est aujourd'hui une maman épanouie et elle nous offre ce nouvel edit filmé à Pasta Point aux Maldives en compagnie de ses amis. Pour sa seconde venue sur ce spot, Bethany s'éclate sur ces superbes vagues et ce décor paradisiaque.
Malgré son amputation, la surfeuse reste au top comme on peut le voir sur ces images enivrantes et elle nous prouve une fois encore qu'elle est tout sauf handicapée (comme nous l'expliquions dans une récente news).

https://vimeo.com/198543575

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Deux nouveaux cas d'agression de requin viennent de tomber, une à Bali et une autre très impressionnante en Australie.

Un surfeur australien de 48 ans a été mordu à la main par un requin lundi matin à Bali sur le spot de Balian Beach, un lieu assez réputé pour les surfeurs.  Selon les témoins, une dizaine de surfeurs étrangers étaient sur le line-up quand le requin a surgit. Quelques minutes avant l'attaque, deux surfeurs avaient été heurtés par "un gros poisson" mais ils sont resté à l'eau.  La victime a été rapidement emporté à l'hôpital et il ne souffre pas d'une blessure très grave.

L'autre cas a eu lieu à Queensland (Australie). Un plongeur de 35 ans pratiquait la chasse sous-marine près de la Grande Barrière de Corail lorsqu'il a subit une violente attaque par un requin bouledogue. Kerry Daniel s'est défendu avec son arbalète, en plantant une flèche à travers la gueule du squale. Le plongeur s'est ensuite enfuit en abandonnant son arme ainsi que le requin sévèrement blessé.
Le comportement agressif du squale a surpris le pêcheur qui a l'habitude de ce spot car il venait ici chaque année depuis 6 ans et s'il y croise régulièrement des requins, ils sont toujours inoffensifs.

https://www.youtube.com/watch?v=pnA5DT3ilQw

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Le dernier week-end de décembre avait lieu le Nazaré Challenge, une compétition de surf sur la plus grosse vague du monde dont voici l'impressionnante vidéo.

C'est Jamie Mitchell qui a remporté cette épreuve de big wave dans des conditions extrêmes.  L'australien de 39 ans est sortie indemne de cette affrontement avec cette vague gigantesque, considérée comme la plus grosse de la planète. Un véritable carnage sur les énormes murs d'eau de ce spot portugais.
Red Bull publie aujourd'hui les meilleurs moments de cette incroyable contest sur ces vagues géantes. Une session qu'on peut largement qualifier d'historique pour ce Nazaré Challenge 2016. Retenez votre souffle, c'est parti !

https://www.youtube.com/watch?v=z8ETnGaSQJw

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La capitale aura son complexe sportif dédié à la glisse avec une piscine à vagues et un skatepark dans moins de deux ans !

On vous avait annoncé son ouverture pour 2016 mais si ce projet a du retard, il ouvrira bel et bien dans quelques mois grâce à l'initiative de la société Waves in City.   Le projet est dans les tuyaux depuis 4 ans mais les choses se concrétisent enfin avec l'arrivée d'une nouvelle vidéo explicative (voir en bas).
Une immense piscine de vagues artificielles en extérieur et une plus petite en intérieur qui fera la joie des surfeurs parisiens frustrés de ne pas pouvoir pratiquer leur passion dans cette grande ville. Ces vagues ne seront plus à 3 heures de route (pour les plus proches) mais à une demi-heure de Paris. À ne pas confondre avec les piscines à remous comme celle d' Aquaboulevard qui créent des vaguelettes non-adaptées pour le surf.

En plus de ces piscines à vagues, le centre sportif proposera une école de surf, une grande plage, un surf/skate shop, une piste cyclable ainsi qu'un musée dédié au surf. Les riders en skate, bmx, trott et roller seront également les bienvenus car un bowl en béton les accueillera pour des sessions enflammées.
Pour developper un projet de cette envergure les contraintes ne manquent pas : urbanisme, écologie, politique... mais c'est surtout au niveau juridique et administratif qu'il y a des lenteurs comme l'explique un des fondateurs de Waves in City (lui-même surfeur) :  "Créer ce type d'infrastructures, prend du temps. Un développement immobilier en France c’est 7/8 ans. On en est à 5,5 ans et, si tout ce passe comme prévu, on sera dans la moyenne".

Un tel complexe prend beaucoup d'espace car il faut trouver un terrain vierge d’au moins 3 hectares, soit trois terrains de football pour construire cette immense étendue d'eau. Chose pas si simple quand on est en ville, surtout la capitale.
Et en ce qui concerne les conséquences environnementales, ce concept de piscine est assez écolo car ils ne rempliront le bassin d'eau qu'une fois par an. Il fonctionnera ensuite en circuit fermé, en réutilisant en plus les eaux de pluie. Pas de gaspillage donc.

Quand au lieu exacte de ce projet pharamineux, nous n'avons pas plus de précision car rien n'est encore défini. "On a plusieurs sites en Ile de France, aux quatres coins cardinaux, sur lesquels on avance en même temps car comme tout prend du temps. Il faut avoir plusieurs fers au feu. On espère pouvoir annoncer le site en milieu d’année".

Waves in City bosse également sur plusieurs projets de complexes à vagues artificielles en province. Un concept qui va se developper de plus en plus vu le nombre de surfeurs qui ne fait que croitre chaque année. La vague artificielle du champion Kelly Slater a d'ailleurs été récupérée par la Word Surf League qui organise les championnats du monde de surf professionnel. Ce qui prouve cet engouement pour ce genre de projets de "surf urbain".

Autre info importante, si Paris est sélectionné pour accueillir les Jeux Olympiques de 2024, cette piscine à vagues jouera un rôle prépondérant pour les compétitions et entrainement des surfeurs.

Le tarif d'entrée journalier s'élèvera entre 30 et 40 €uros, ce qui reste toujours moins cher qu'un aller-retour à Hossegor même si on n'a pas le climat qui va avec...
Toutes les infos sur http://www.wavesincity.fr

https://youtu.be/Nq3T7bcTu5M

Après, si l'appel du surf se fait trop violent et que tu ne peux pas attendre 2018, tu peux faire comme Jean-Claude...

https://youtu.be/2C37lkpwoaI

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Voici l'histoire d'un touriste japonais bien chanceux. Cet homme était parti surfer seul à Bulli, (100 km au sud de Sydney) et suite à un fort courant, il s'est éloigné des côtes et a dérivé dans l’océan Pacifique toute la nuit !

Personne n'avait remarqué qu'il était parti quand l'incident a eu lieu. Le surfeur japonais âgé de 37 ans était seul à l'eau et une fois emporté à plus de 6 km du rivage, il a enfin été secouru par un cargo porte-containers, long de 300 mètres qui a réussit à le  voir au petit matin.
Le brave homme a ramé pendant plus de 16h dans la nuit noire et quand l'équipage du cargo l'a trouvé, il était naturellement épuisé mais toujours en vie !

Il s'agissait bien d'un surfeur amateur qui se rappellera toute sa vie de cette désagréable péripétie en Australie.
Ce spot situé à 11 km au nord de Wollongong dans l’état du New South Wales était connu des surfeurs mais pourtant vide ce jour-là. L'équipage du bateau qui l'a repéré en pleine mer a dû halluciner de voir un surfeur si loin des côtes et d'ailleurs le sergent Netting (de la police du port Kembla) a même déclaré que ce japonais était un "survivant" car toute personne normalement constituée devrait être morte dans ces conditions.
Rappelons quand même que ce n'est pas l'hiver en Australie et que même la nuit, il fait au moins 25° donc le surfeur ne serait pas mort à cause du froid mais d'une éventuelle noyade due à l'épuisement s'il avait quitté sa planche de surf.
Ses sauveteurs lui ont donné une couverture et à manger et notre surfeur en herbe va aujourd'hui très bien.
Tout se termine bien et ça fera une belle anecdote à raconter quand il rentrera chez lui !

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Jack Freestone est envoutant dans ce court-métrage en noir & blanc tout en ombre & lumière.

Comme on l'a souvent évoqué ici, Sebastien Zanella et par extension toute son équipe du mag Désillusion ne font aucun compromis sur la qualité de leur travail.
Des images qui donnent le frisson dans une atmosphère bien glauque, voici la nouvelle prod de Desillusion avec en guest Jack Freestone (connu également comme le petit ami de la sulfureuse Alana Blanchard).
Et après l'époustouflant Eunoia, Zeb nous offre ce somptueux Sable Noir, très esthétique et onirique en partenariat avec Billabong.
Hors des sentiers battus et des tendances, ce clip est une fois de plus un chef d'oeuvre. Laissez-vous glisser du coté obscur...

https://vimeo.com/199279710

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À seulement 8 ans, la jeune Sky Brown a déjà largement fait ses preuves en skate mais saviez-vous qu'elle excellait aussi dans d'autres sports de glisse ?

Après son passage très remarqué à Cuba, notre prodige revient avec un edit de surf !  Toujours sans son frère (Ocean) lui aussi surdoué du skate, la petite japonaise Sky nous prouve de quoi elle est capable sur les vagues. Notre adorable skateuse s'éclate sur sa board et nous offre l'instant "chou" du jour.

https://www.youtube.com/watch?v=RarvXyfeMKc

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Du surf pour vendre une voiture de luxe. Un concept qui ne choque plus personne aujourd'hui !

Après le skateboard qui a vendu son âme à l'industrie du luxe (voir news ici), c'est au tour du surf d'être récupéré par une grosse marque prestigieuse.
La charmante Maud Le Car est l'égérie de la nouvelle campagne de pub pour la Lamborghini V10 Huracán RWD Spyder.

Les sports de glisse sont très à la mode et les marques n'hésitent plus à faire appel aux plus grands riders pour la promotion de leurs produits.  La preuve ici avec ce superbe clip qui met en scène la top surfeuse française (en même temps avec un nom comme ça, Maud Le Car n'allait pas faire la pub pour du shampoing...).

https://youtu.be/UQKBZKOtnhQ

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Jordan Bartholomew était un local bien connu de Buxton, un spot situé dans les Outer Banks (Caroline du Nord aux USA) et ce  surfeur était aussi autiste.

Il a été retrouvé inanimé dans l'eau sur la plage de Old Lighthouse. La cause du décès n'est pas encore connue mais Jordan n'avait que 32 ans. Sa mort est peut-être due à sa maladie mais ce qu'on sait avec certitude, c'est qu'il n'avait jamais voulu arrêter de pratiquer sa passion. Il s'est probablement noyé vu son état de santé mais nous n'avons pas encore les résultats de l'enquête.

Surnommé "Greenhorn", il était très connu et respecté dans la communauté des surfeurs de Buxton de par son enthousiasme et sa bonne humeur.
C'est vers midi qu'une femme a retrouvé une planche de surf abandonnée sur la plage du phare. Non loin de là gisait un corps sans vie. Jordan Bartholomew avait toujours son leach attaché au pied quand il a été découvert inconscient. Les autorités locales et les surfeurs du coin sont rapidement arrivés à son secours et ont tout tenté pour le réanimer mais sans succès.

Pour Greenhorn, la pratique du surf était une vraie thérapie : "Je m'appelle Jordan Bartholomew, je suis atteint d'autisme, d'épilepsie, TDAH, de la maladie de Crohn, d'arthrite dégénérative, d'asthme et tout un tas d'autres choses mais je suis aussi surfeur et c'est ce qui me fait rester sain" a déclaré Jordan qui  est monté sur une board pour la première fois en 2007 et passait depuis tout son temps à l'eau. Il est mort en surfant et peut-être que finalement c'était son souhait. En tout cas d'après ses proches, c'était un homme positif et exceptionnel.  RIP

https://www.youtube.com/watch?v=22g9NUQglYE

https://www.youtube.com/watch?v=17Ni_p-On18

https://youtu.be/6zd9vpIoQNk

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Aidan Ostrogovich filme des séquences de surf en vue aérienne depuis un an et nous offre aujourd'hui ce best-of vertigineux.

Le spot de Santa Monica en Californie est déjà fantastique mais avec cette vue à vol d'oiseau, ça donne une nouvelle dimension de ce paradis pour surfeurs.
Les drones ont définitivement changé la donne en matière de vidéo et depuis quelques années, on ne voit plus un clip sans cette vue aérienne qui survole les riders. La preuve une fois encore avec cet edit de surf publié par Aidan Ostrogovich qui balance ses meilleurs sessions filmées en caméra embarquée, que ce soit avec une perche ou ce fameux drone, désormais incontournable.

https://vimeo.com/200043616

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En octobre 2015, l'équipe SurfEXPLORE et Puzzle Media ont lancé une expédition sur l'île de Samar, aux Philippines. C'est la troisième plus grande île de cet archipel qui en compte plus de 7000 !

Le team SurfEXPLORE est un collectif international spécialisé dans la recherche de vagues inconnues, et la découverte des derniers spots vierges de la planète surf. Nous avions d'ailleurs relayé l'an dernier les trouvailles de ces passionnés en Sierra Leone, autour de la péninsule de Freetown.
SurfEXPLORE est composé du photographe professionnel américain John Callahan, du longboardeur et écrivain britannique Sam Bleakley, du surfeur italien et expert météo Emiliano Cataldi, et du surfeur-aventurier Erwan Simon, originaire de Bretagne.
Sous l'objectif des caméras de Puzzle Media, déjà producteur de Riding Zone (Le magazine des sports extrêmes diffusé sur France Ô), SurfEXPLORE a mené à bien sa mission aux Philippines !

Il faut dire que le photographe John Callahan est l'un des plus grands spécialistes de surf aux Philippines... Il a mené plusieurs expéditions à travers le pays, et baptisé le célèbre spot de Cloud 9 sur l'île de Siargao en 1992. John Callahan connaît le réel potentiel de l'archipel des Philippines, mais l'homme sait aussi que les conditions météorologiques sont parfois capricieuses et délicates dans cette région du monde.
Les Philippines se trouvent en effet dans l'une des zone les plus exposées aux tempêtes tropicales de l'océan Pacifique. La saison des typhons s'étend de juin à décembre et peut produire des houles puissantes, mais c'est aussi un réel risque de catastrophes naturelles ! En novembre 2013, le super-typhon Haiyan a ainsi omplètement balayé le sud de Samar et dévasté la ville de de Tacloban. Même si ces typhons sont imprévisibles, l'équipe de SurfEXPLORE a parié sur le mystérieux phénomène El Niño, qui augmente leur fréquence dans l'ouest du Pacifique. Un pari gagnant, puisque le typhon Champi a pris une direction idéale vers les Philippines, produisant de belles vagues sans représenter de danger...
Sandbar, Conditioner, Tuboy, Boneyard... Les 4 explorateurs ont ainsi révélé plus d'une dizaine de nouveaux spots, dans un décor de rêve ! Bravo SurfEXPLORE...

Vous pouvez dès aujourd'hui louer ou acheter le reportage complet en cliquant sur ce lien. En attendant, voici le teaser :

https://vimeo.com/ondemand/surfexplorephilippines

Samar est la troisième plus grande île de l'archipel des Philippines et offre un véritable potentiel pour y découvrir de nouvelles vagues.

Un aigle des Philippines lance un regard interrogateur avant de prendre son envol. Aucune hésitation pour Erwan Simon.

Les Philippines restent aujourd'hui encore un pays épargné par le tourisme de masse. (Moins de 40 000 touristes français s'y sont rendus l'an dernier)

Le basketball est un vrai sport national aux Philippines : un match avec les villageois devient vite incontournable.

De nombreux récifs se trouvent à plusieurs kilomètres au large et nécessitent l'aide précieuse des pêcheurs locaux pour y accéder.

Avec plus de 7000 îles, l'archipel des Philippines présente de nombreuses zones de recherche pour y découvrir de nouvelles vagues.

L'expertise météo du surfeur Emiliano Cataldi a permis d'orienter les recherches de l'expédition.

Le bleu translucide de l'océan Pacifique. Emiliano Cataldi trouve son rythme sur une nouvelle droite.

Deux foix champions d'Europe de longboard, le gentleman britannique Sam Bleakley démontre sa parfaite maîtrise du noseride sur le spot de Conditioner.

L'expédition à Samar a révélé plus d'une dizaine de nouvelles vagues de qualité. Erwan Simon au bottom turn sur Conditioner.

Les Philippines sont très exposées aux tempêtes tropicales. Le team SurfEXPLORE a parié sur le retour du phénomène El Niño et la houle du typhon "Champi". Erwan Simon dans l'oeil du cyclone.

Samar est une île des Visayas, au centre de l'archipel des Philippines. Sam Bleakley se lance dans un décor de carte postale.

John Callahan a photographié ce spot il y a 20 ans et encore aujourd'hui il n'y a personne à l'eau. C'est le point de départ de l'expédition vers une nouvelle zone d'exploration.

Pendant que les surfeurs s'entassent sur le célèbre spot de Cloud Nine à Siargao, Erwan Simon profite de la quiétude des vagues à Samar.

Paysage de l'île de Samar. Une vague inconnue se cache peut-être derrière la falaise ?

Le style fluide et précis du surfeur italien Emiliano Cataldi s'exprime sur les reefbreaks de Samar.

L'exploration réserve toujours une grande part d'incertitude, on n'est jamais sûre de ce que l'on va trouver.

Sam Bleakley sait s'adapter à toutes les conditions de surf, une qualité importante pour un explorateur.

La découverte d'un nouveau spot de surf est une source intense d'émotion. La joie d'Emiliano Cataldi et Julien Chat.

Erwan Simon valide cette nouvelle découverte avec un carve sur le spot de Conditioner.

L'archipel des Philippines est très exposé aux typhons. Samar reconstruit peu à peu ses infrastructures après la catastrophe du typhon Haiyan qui a dévasté une partie de l'île en novembre 2013.

L'expédition a révélé une grande variété de vagues. Emiliano Cataldi sur un nouveau reefbreak.

À première vue ce spot semblait peu intéressant mais les conditions se sont améliorées une fois les surfeurs à l'eau. Erwan tente le tube.

L'équipe cherche un accès vers l'océan. Est-ce le bon chemin ?

Erwan Simon prépare ses planches et attise la curiosité des villageois qui n'avaient jamais vu de surfeurs auparavant.

Ce spot necessite une heure de marche à travers la jungle pour y accéder.

Le longboardeur Sam Bleakley exploite le dernier jour de houle du typhon "Champi" sur le spot de Sandbar.

Erwan Simon s'abrite du soleil à Sandbar, une vague de récif qui déroule devant un banc de sable en pleine mer.

Emiliano est un surfeur puissant et stylé qui sait choisir les meilleures trajectoires.

Les voyages représentent une véritable source d'inspiration pour l'écrivain Sam Bleakley.

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Voici l'histoire de Leah Dawson ou la légende de l'hippocampe de fer...

Une aventure qui a lieu dans le célèbre Wave Garden du Texas, le Nland Surf Park. Un lieu propice pour compter ce brave récit dans une ambiance western.
Une cow-girl qui pensait que tout était possible et également obsédée par cette légende de l'"iron sea-horse" qui prétend qu'il existerait en Amérique, une oasis qui ne se révélerait qu'à la personne qui y croirait vraiment. Enfin c'est ce que veut nous faire croire le magazine The Inertia pour présenter le nouveau clip de Leah Dawson sur ces vagues artificielles bien sales.
Une piscine à vague constituée uniquement d'eau de pluie qui pourrait produire un million de vagues par an et ceci n'est pas une légende.
Et apparemment, Leah aurait trouvé cette fameuse oasis et pense maintenant qu'il est possible de surfer ces vagues marrons avec un style hors du commun ! Hihahh en selle pour cette nouvelle aventure de la surfeuse du far-west !

https://www.youtube.com/watch?v=ElDq7oH0HgI

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Voici l'histoire d'une vague exceptionnelle, un mascaret surfé et filmé pour la toute première fois.

L'action se passe à Calcutta dans l'est de l'Inde, une des villes les plus peuplées et pauvres du pays et plus précisément sur le fleuve Hooghly, l’un des principaux affluents du Gange, long de 260 kilométres.
Ce mascaret bien connu des locaux, passe deux fois par jour, lors des changements de marées. Mais à cause de la Lune exceptionnelle qui a eu lieu le 10 août 2014, les conditions étaient elles aussi assez rares pour susciter la curiosité des experts de ce genre de phénomènes.
Appelée aussi une "super lune", elle est passée à seulement 357.000 kilomètres de la Terre, soit plus de 10% plus proche que d'habitude, ce qui crée en général des marées plus importantes et c'était une occasion en or qu'il ne fallait pas louper pour nos surfeurs avertis.

Le Baan est une vague mystique et vraiment puissante qui effraie les habitants de la ville depuis toujours car quand elle s'emporte, elle peut détruire des bateaux même si la plupart du temps cette rivière est plutôt calme.
Dans cette megapole indienne, le fleuve Hooghly est assez important car les habitants s'y lave et y passent beaucoup de temps, que ce soit pour s'y amuser pour les plus jeunes ou pour laver le linge mais aussi s'y brosser les dents ou faire leur besoin... inutile de dire que le fleuve est extrêmement sale et pollué mais il fait quand même vivre quelques pécheurs et fait partie intégrante du quotidien de ce peuple.
Les indiens ont très peur de ce Baan et le considèrent comme sacré, car ce fleuve a déjà fait des milliers de victimes. En Inde, beaucoup de gens résident au bord de l’eau alors quand le mascaret arrive, il les surprend et parfois les emporte avec eux. Les locaux pensent donc que le Baan transporte des fantômes, ceux des noyés.

Le spotologue confirmé Antony "Yep" Colas, grand spécialiste du mascaret dont le métier est justement de dénicher des nouveaux spots est le consultant régulier pour les émissions de Puzzle Media (Riding Zone entre autre). Il est également l'auteur des guides Stormrider, l’équivalent du guide du routard pour le surf et d'un livre de référence sur les mascarets. Cet expert mondial des vagues de rivière a surfé les mascarets les plus improbables aux quatre coins de la terre (dont le fameux Seven Ghosts en Indonésie) et quand il a entendu parler de cette vague éphémère qui serait forcément incroyable vu les conditions lunaires, il a tout de suite contacté l'équipe de Puzzle Media qui a suivi son expédition.

Les voilà donc partis une semaine complète en Inde avec également Steve King, un surfeur anglais qui détenait le record du monde de la plus longue vague surfée jusqu'en 2011 (il a tenu plus d'une heure sur une vague) et Gaétan Séné (une star du Stand Up Paddle pour une aventure) qui s'avérera extraordinaire dans un pays où tout est différent et surtout tout est beaucoup plus compliqué.  Le simple fait de trouver un bateau pour suivre la vague n'était pas aussi simple qu'on pourrait le croire, alors en trouver 3 était déjà une aventure en soi car le mascaret ne se produit que deux fois par jour et défile à plus de 25 km/h donc il vaut mieux être prêt quand il se produit.
Mais Calcutta est l'une des villes les plus peuplées au monde avec énormément de gens dans la rue donc pas facile de suivre une vague dans ces conditions, il faut forcément un bateau et un qui tient la route.

Le mascaret de Baan, cette onde lunaire, n'a pu être surfé que trois fois seulement en une semaine, que ce soit en surf ou en paddle board mais l'équipe de Puzzle Media a réussi à capturer ces instants rares et incroyables sur cette rivière sacrée.

Vous pouvez dès aujourd’hui louer ou acheter le documentaire complet en cliquant sur ce lien. En attendant, voici le teaser :

https://vimeo.com/ondemand/chasingthebaan

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Déjà quand on dépasse deux surfeurs pour une seule vague, ça peut friser le drame alors imaginez avec une centaine !

Sur le spot de La Jolla à San Diego, plus d'une centaine de surfeurs se sont donné rendez-vous afin de tenter de battre le record du monde de personnes sur une vague. 110 était le record à battre mais samedi 23 janvier, lors de ce One Wave Challenge 2017, seuls 103 surfeurs ont réussi à se mettre debout en même temps sur leur planche.
Le but était avant tout de faire de la promotion et de reverser les bénéfices à l'association Boys to Men (qui vient en aide aux enfants en difficulté qui ont une éducation mono-parentale).

Le record détenu il y a déjà six ans à Cape Town (Afrique du sud) n'a donc pas été battu. En même temps, si on regarde bien, il y a surtout des amateurs avec des planches en mousse sur cette vague donc pas évident de coordonner tout le monde. Faire tenir cent personnes simultanément sur une même vague n'est pas une chose si simple en fin de compte mais l'intention était là et nous tenions à saluer l'initiative.
Déjà, ils ont fait mieux que l'année dernière car il y en a 6 de plus. Encore un petit effort et pour l'édition de 2018, on sera bon !

https://vimeo.com/201508690

https://vimeo.com/201068846

L'année dernière au même endroit

https://vimeo.com/153312924

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On se croirait à Hawaii et pourtant ces vagues monstrueuses viennent de Tenerife !

Un swell terrifiant s'est abattue sur les îles Canaries le 28 janvier dernier. Un petit groupe de surfeurs courageux s'est aventuré au nord de Tenerife pour charger ces vagues gigantesques et impressionnantes. Personne n'avait vu des murs d'eau aussi hauts et autant déchainés sur cette île depuis des années.
Les surfeurs (Alexander Zirque, Manuel Lezcano, Daniel Bruch, Ayoze Fernandez et Stephane Iralour) ont défié ces conditions dantesques et tenté d'apprivoiser ces vagues qui pouvaient atteindre parfois plus de 10 mètres de hauteur !

https://vimeo.com/201923150

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Riding Zone avec Loïc Bruni, Laurent Roudneff et Leonardo Fioravanti.   Rendez-vous dimanche à 9h00 sur France Ô pour une nouvelle émission !

Cette semaine, l'invité de l'émission Riding Zone est l'italien Leonardo Fioravanti. À 19 ans, C'est l'un des surfeurs les plus doués de sa génération.

- Dans le reportage exclusif de la semaine, l'équipe de RZ est allé à la recontre de Loïc Bruni, pro rider en MTB de descente : Un sport de précision ou l’erreur ne pardonne pas !
Avec son MTB suréquipé, à la pointe de la technologie telle une véritable F1 sur deux roues, le français dévale des pentes périlleuses et super raides à fond la caisse et parfois même jusqu'à 80 km/h. Si bien qu’à 22 ans, il a déjà décroché le titre de champion du monde en VTT de descente et il ne compte pas s’arrêter là. En pleine ascension, Loïc se prépare pour tout rafler cette année ! Riding Zone l'a suivi en pleine préparation pour le championnat du monde.

- Le français Laurent Roudneff pratique le parapente mais pas n’importe lequel : Le parapente de précision ! Une discipline engagée et très technique, proche de l’esprit du street en skate et en BMX, c’est armé de son parapente que Laurent s'amuse avec le mobilier urbain environnant, le tout en lévitation.
Pour la rubrique En Mode Freestyle, le français doit réaliser une série de challenges en parapente de précision tels que : se poser sur un lampadaire, effleurer du bout du pied les toits des maisons ou bien encore slider sur les digues…

- Cette semaine dans le Zap Extrême : Retrouvez le wingsuiter Marshall Miller pour un saut exceptionnel depuis l’Aiguille du midi. Retour sur la terrible chute de Ken Roczen au Supercross US. Ensuite, découvrez le skieur Devin Stratton qui frôle la mort en chutant d’une falaise. Direction Hawaii où le kayakiste Nick Troutman pagaie au bord d’un volcan en éruption. Gros plan sur la marque Protest et sa série de vidéos humoristiques. Focus sur une session de skate avec une rampe humaine. Enfin, zoom sur les pompiers de Dubaï qui se déplacent et interviennent en Flyboard…

Site Officiel : www.franceo.fr/ridingzone

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